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SWEET SIXTEEN dans la presse et sur le net

Une pop finement ciselée…Sweet Sixteen a entamé une longue mue qui semble enfin porter ses fruits…Une collection de chansons mélancoliques, d’arpèges cristallins, Byrdsiens en diable, une voix fragile et touchante…A écouter les yeux fermés, le pari est parfaitement réussi.
Aymeric Desvaux – La feuille, janvier 2013
Le 13 porte généralement bonheur. Le soutien de l’excellent site Indiemusic et de ses formidables compilations We Are Indie également, qui en est justement à son XIIIème volume. Et vue l’infatigable défrichage et les trouvailles que lesdites compiles révèlent à chaque fois, on peut croire en la lumière pour ces artistes qu’il nous reste, pour beaucoup et à notre tour, à découvrir. The Lemming Ways, Florian Mona, Pendentif, Soul Noir, Bengale, Sweet Sixteen, il y en a 26 en tout, on aimerait tous les citer.
Thomas Burgel – Les Inrocks, décembre 2012
Le quintet Manceau était très attendu… rêve enfiévré ou embrumé… le premier album de Sweet Sixteen nous emporte… fraicheur mélodique portée avec talent et très bien réalisée (studioscope & Rumble Sound Studio)… Sweet Sixteen, un groupe à l’avenir prometteur…
Le Scéno, novembre 2012
En décidant d’accoler à Sixteen le délicat Sweet – plutôt qu’un sauvage (et déjà pris) Horsepower – c’est résolument le chemin d’une pop ligne claire qu’ont choisi d’emprunter ces Manceaux. Chant en apesanteur, chœurs stéréophoniques, guitares tantôt cristallines, tantôt rugueuses composent l’arsenal qu’utilise Sweet Sixteen, comme Shack en son temps, pour toucher en plein cœur… et imposer son Absence.
Le Haut-Parleur (Cyrille Taillandier), novembre 2012
Une pop aérienne, ténue, presque insouciante, ou les notes s’envolent, flirtant avec des rythmes puissants et des moments éphémères. Une mélancolie et une fragilité instrumentale qui font penser aux mélodies intimistes et délicates de Band of Horses ou encore de Fleet Foxes. A découvrir et écouter sans modération aucune.
K-Libres (journal des étudiants en Pays de Loire- 30.000 Ex.), octobre 2012
Voilà un groupe radicalement pop ligne claire… On pense à The Pale Fountains, The Go-Betweens, The Apartments. Les mélodies sont impeccables et les refrains redoutablement mis en évidence (l’entêtant Better time) ou les cinq musiciens oeuvrent de concert… De ces 10 titres on peut en tirer un enthousiasmant maxi!
Magic rpm (national), octobre 2012
Le premier album des de Sweet Sixteen vaut le détour à plus d’un titre. D’abord parce qu’il montre dès les premiers morceaux une maitrise et une aisance dans la composition ainsi que dans la production. Ensuite parce que ce groupe mené par Raphaël Froment a suffisamment d’atouts (voix, mélodies, chœurs…) et de richesse de style pour passer largement le stade de l’écoute unique. Influencé par la pop anglaise des années 60 à nos jours, le groupe rappellera, par ce mélange de fraicheur et de habileté, les premiers albums d’Orwell… autre groupe doué pour les mélodies pop franches et les belles harmonies vocales… Un album aussi prometteur qu’accompli.
Pop Revue Express, aout 2012
Avec toujours Raphaël Froment à sa tête, auteur compositeur des dix titres de l’album, produit par le non moins renommé Cali du Studioscope, Sweet Sixteen revient ici nous jouer de sa pop entrainante et sincère. L’éponyme Absence déclenche l’écoute de l’album sur un titre voluptueux et divin… Too Many Lies nous invite ensuite dans son pop-rock nuageux et concentré quand Better Time nous amène un pop surf plein d’éclaircies. A Gorgeous Land lui saura convaincre du potentiel des Sweet Sixteen pour écrire des balades pop savoureuses. Present Happiness Makes Tomorrow’s Regrets en toute fin d’album rappellera l’emprunte visuelle de la pochette – l’évasion et l’oubli à la tombée de la nuit. Marqué d’influences anglo-saxonnes, Sweet Sixteen parvient cependant à s’en détacher pour composer un disque à l’éclectisme affirmé d’une note singulière.
indiemusic, Aout 2012
Derrière Sweet Sixteen se cache Raphaël Froment, auteur-compositeur de talent qui déploie toute son étendue vocale. 12 songs in the life / part 1, premier Ep disponible plaira sans aucun doute aux amateurs de pop faussement innocente, celle de nos chères 60′s.
Rock One magazine n°71, décembre 2010